On se souvient d'eux.
 


Aujourd'hui 15 Avril 2014.


Nous avons été nombreux et bruyants
à accompagner Mamie CALA à sa dernière demeure.
Je suis sur qu'avec sa verbe tant imagée
elle nous aurait traités tous de < Petits CONS !! >
Si elle avait pus voir la petite larme que nous avons tous
essayer de dissimuler
derrière nos discussions d'anciens combattants.

...................................................................Bisous Mamie de la part de tous.


 







Aujourd'hui 9 Novembre 2013

Encore un ancien qui nous quitte,
il fut de ceux qui ont vécu Pompiers toute leur existence
on ne l'oubliera pas, maintenant il doit pouvoir à nouveau s'engueuler
avec son ami le colonel Lambert
(Sans jamais être faché).









 



Colonel LAMBERT.

   Il nous a quitté, au matin du 16 Août, Fêtes de collioure ou il aimait se retirer.

   Il était arrivé Lieutenant, avec pour seul véhicule une 403, mais son efficacité, sa volonté, son sens de l'amitié et du social ont fait le reste et la grandeur des pompiers d'aujourd'hui.

   Mon Colonel vous serez toujours avec nous.
               René Philippot.









































 



   PASCAL CORCINOSsouvenirs

      Vous Vous en souvenez ?  
                   Beau Gosse, Belle geule

      qu'on aimerait avoir à nos cotés ! !!!
                  mais tu en as décidé autrement.

                           Adeu Amic.





 



Henri,Souvenirs

  Cet Homme qui ma accueilli dans cette alcove qui nous servait d'atelier radio avenue Foch, lui qui ne tolérait pas que l'on oublie de recharger les batteries des postes portatifs et de vérifier les lampes portatives de tous les véhicules chaque matin,

Lui qui m'avait tout appris du fonctionnement du point haut du palais des rois de majorque.

  Cet Homme qui était ours à l'extérieur mais un ami toujours pret à rendre service.

  Avec lui on pouvait partir en intervention, avant que la science explique certaines choses il me disait toujours, ne sonne jamais, quand tu ouvres une porte met toi sur le coté, avant de rentré mouille la porte si elle < fume> accroupis toi avant d'ouvrir et pourtant on était dans les années 70 le flash over n'existait pas.

  Avec lui on pouvait rigolé mais si c'était à ses dépends il fallait le reconquérir, certains se souviendront du gilet de sauvetage.

 

   Enfin, je vais m'arréter, aujourd'hui tu es la haut avec tes modèles réduits mais pour moi chaque fois qu'un bruit de moteur passera au dessus de moi, mes pensées iront vers toi.

 

                                         A Henri mon ami René Philippot.


souvenirs










Henri nous à quitté, sa moustache, son sourire sa gentillesse, sa passion pour la musique mais surtout sa disponibilité seront toujours dans notre mémoire.

 

                        Salut l'Artiste.


Jean Paul CAQUINEAU.             Les anciens se souviendront de lui.

Il nous a quitté le 18 Avril 2011, sans bruit, après un dernier dur combat.

                                           Salut l'Ami.

                                                          Les Anciens SP Perpignan.


souvenirs

Milou  pour les Pompiers,  

                           Emile Rebujent pour le ballon Ovale.

 

       Personnellement je me souviendrait de lui autant ballon en main que Pompier.

       Je l'avais d'abord connu sur les terrains ou il faisait office d'ancien pour un jeune comme moi à qui on demandait de jouer avec les grands et certainement que sur mon visage la peur devait se lire car avant de rentrer dans ce qui à l'époque était comparable à une arène il savait toujours te dire: 

< Allez les petits on y va !! >

       Ensuite en pompier je me souviendrai de lui comme celui qui savait aussi bien partir en inter que manier le bidon d'eau ou le rateau à cheveux.

 

                                 Salut l'ami je crois que si le ciel existe tu est déja à la porte d'entrée à nous attendre

   comme rue Foch.


souvenirs

2010   

Comme me disait Robert :

< Il est parti avec l'arrivée des premières fleurs.

C'est la aussi une figure du CSP qui nous quitte >.

 

Sacré < NoNo > ,    

               Tchaou L'Ami !!!
 


souvenirs

A l'aube de 2010,

Robert Mach nous a quittés.
 Il laissera parmi nous l'image d'un bon copain.

Son franc parlé,
Sa rigueur,
Sa franchise
 étaient appréciés de l'ensemble de ses collègues.

Notre amicale présente ses sincères condoléances à Jacqueline, son épouse.
à sa maman et à sa famille.




 


Souvenirs

 

 

 

 

Un Clin d'oeil à BERNARD.

Proposé Par sa Petite Soeur.

 

Les faits se déroulent à l’ancienne caserne des pompiers, Rue Maréchal Foch à Perpignan. J’avais entre 10 et 12 ans et ce jour là, à la caserne, c’était une journée comme une autre. Nous occupions un logement de fonction au 3ièmeétage à l’intérieur de la Caserne, une résidence peu banale…

Il était environ 13h30 papa venait de « redescendre » au poste de garde pour prendre son service. Depuis notre appartement, nous vivions accoutumés aux bruits de l’activité de la caserne, des hommes affairaient à leur fonction, la sonnerie d’appel, le fracas de la grande porte lourde du garage qui s’ouvrait pour les départs en intervention avec les différents camions et ambulances toutes sirènes hurlantes.

La sérénité régnait dans notre domicile lorsque tout d’un coup, une forte odeur de brûlé envahit les pièces.

C’est alors que mon frère Bernard, surgit de sa chambre en criant à ma mère « maman, il y a le feu dans ma chambre ».

Effectivement une épaisse fumée noire s’échappait de sa fenêtre grande ouverte.

Au vue de la scène, les passants étaient à la fois stupéfiés et à la fois amusés de ce qu’ils voyaient. L’un d’eux s’exclamait : « regardez, il y a le feu chez les pompiers !!!! ».

Maman toute affolée décide d’appeler le standard et demande à une équipe de monter de toute urgence.

Malgré les efforts de maman et de Bernard pour tenter d’éteindre ce début d’incendie, rien n’y fait. Se sentant impuissante et ne voyant personne arriver, elle rappelle à nouveau le standard pour demander à papa de « monter en urgence» alors que le feu commence à se propager rapidement aux rideaux, à l’armoire et au bureau.

Je revois maman et mon frère qui tentaient, avec des seaux d’eau, de maîtriser en vain l’incendie. Ne voyant toujours pas papa monter, elle rappelle une troisième fois le standard en s’égorgeant :

- « venez vite, il y a le feu, je ne plaisante pas » 

- « oui Mme Bardaji, nous vous envoyons votre mari ne vous inquiétez pas » lui répond l’interlocuteur d’une voix amusée.

La fumée devient de plus en plus épaisse et étouffante, les seaux d’eau ne font rien….

Au bout de quelques minutes, particulièrement interminables, enfin les pas tranquilles de papa dans l’escalier se font entendre… les mains dans les poches croyant à une blague de ses collègues.

Voyant l’épaisse fumée s’échapper dans le couloir, papa redescend aussitôt les escaliers à vive allure pour aller chercher le matériel nécessaire mais surtout des renforts pour enfin éteindre le feu.

En peu de temps, une équipe arrivait munie d’un extincteur à poudre que tenait Georges Coder . Le feu était éteint sans difficulté.

Fort heureusement, les dégâts s’étaient uniquement étendus à la chambre de mon frère Bernard. Maman a été ravie, elle a passé trois jours à ramasser de la poudre blanche dans l’appartement !

Pendant longtemps, nous avons relaté cette aventure avec beaucoup d’humour, un feu à la caserne des pompiers ce n’était pas anodin !!!!

Plus tard nous avons su que mon frère avait tenté regonfler une balle de ping-pong avec un briquet et en se brulant, la balle avait roulé sous le lit qui s’ était enflammé.

Cette aventure a peut-être permis à mon frère Bernard de voir grandir en lui une vocation, et de devenir plus tard sapeur pompier professionnel au SDIS 66…

Je te dédie cette anecdote à toi mon frère à qui je n’ai pas eu le temps de dire je t’aime et combien tu me manques…

Je voudrais aussi vous dire que je garde en moi de nombreux souvenirs de cette période de ma vie ou nous vivions à la « caserne », au sein d’une grande famille toujours unie.

Le souvenir quand j’ai appris à nager avec les autres enfants de la caserne avec René GOURBAULT et René PHILIPPOT à la piscine du champ de mars.

Souvenir des noël dans le grand garage ou le père noël arrivé en moto.

Souvenir des repas de Sainte Barbe et des rifles, souvenir des sorties tous ensemble avec des repas inoubliables.

Souvenir des concours de pêche à Port-Vendres, ou sans être chauvin les Bardaji raflaient toujours le 1erprix !

Souvenir aussi des étés ou dans la cour les seaux d’eau, quelques fois pleuvaient, sur la tête d’un d’entre eux.

Souvenir des « Poques Bergunyas ».

Souvenir aussi de cette grande famille toujours dévouée, unie, prête à se rendre service mutuellement et qui vivait sans heurs toute l’année dans cette caserne.

Et enfin, souvenirs et hommages à ces personnes qui ont fait de la « vieille caserne » une grande famille au grand cœur… : Mrs et Mmes Gatault, Pey, Baux dit Tutu, Vaqué, Horgne, les Rebujent & Co, Campilla, Fabresse dit Fafa, Auzolat, les bobo & Co, Caruel, Olive, Sabardeil, Zapata, les Calatayud & Co et leur maman infirmière qui a toujours su réconforter, Pujade dit Pupu, les Marty & Co, Cayro, Casanova, Llense, Llobet, Comes, Barges, Lambert, Madrignan, Sabaté, Barde, Cadène, Lancri, Sansa, Perez, Barges, Claret, Picas, Cuirana, Liminana, Rous dit Riri, Cadéne, Chrisostome, Parayre, Coder, Vicens, Cuni, Badie, Llaret, Oliva, Mateu, Jonquères, Ferrer, Boxero, Dague, Dalmau, … et surtout papa et maman …

La liste est longue et J’ai dû en oublier surement, mais pour ceux que j’ai oublié je vous remercie de bien vouloir m’en excuser.

Véronique B.

 


     Gilbert SABARDEIL......que nous avions surnommé  SISTEILLsouvenirs

             à cause de son panier en osier qui lui servait à transporter son repas.

         Vous ne pouvez pas voir ses yeux mais si cela était vous verriez tout son amour pour son échelle qui n'avait dégal que l'amour de sa famille.

      Adeu l'amic.
                         RP.
.






 
L'Ami TOUMBA...souvenirs

        A qui tout allait bien, excuse moi de t'avoir une nuit réveillé avec ton ami PuPu une anguille à la main que tu as prise pour un serpent.

        On ne t'oublieras pas.







 
....Georges DALMAU.....souvenirs

          Son FILS en parle si bien dans la brochure de l'explosion de l'usine à gaz que nous avons faite éditer.
Qu'il m'est impossible de vous en dire plus.


           Salut Georges.






 


.... Lt CALATAYUD.souvenirs

       Lieutenant mais surtout < le Papy >

 
                  Tu as été celui qui m'à accueilli  quand je suis arrivé jeune blanc bec rue Foch et immédiatement tu as commencé mon instruction par ces mots:





< Donnez lui des bottes une veste et un casque il y a le feu au immondices de la VILLE>

                                                                             Merci Papy.



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